Habituellement promptes à saisir les micros, les plumes, à critiquer, à faire des observations à la classe sportive ivoirienne, la presse s’est installée à la table des bredouilles. Pourtant, les journalistes sportifs ivoiriens ont tous les avantages qu’ils pouvaient tirer de leurs associations. À la fois, la presse sportive ivoirienne peut organiser des conférences mensuelles, avec à la clé des anciens journalistes ou spécialistes de sport, organiser des prestigieux prix favorables à rendre hommages aux anciens athlètes à la retraite ou décédés. La création d’un prix en l’honneur des anciens ministres des Sports ou des grands dirigeants de club qui ont participé au développement du football, du handball, basket-ball, de l'athlétisme de la boxe, du cyclisme ,du tennis ou du golf. Aujourd’hui, pour son propre épanouissement, la presse sportive ivoirienne est devenue «muette». Aucune initiative pour ressortir ceux qui ont rendu de loyaux services à la promotion des sports en Côte d’Ivoire. Au titre des hommages, la presse sportive ivoirienne peut instituer annuellement le prix Laurent Pokou pour le football.
Sport Publié le 28 février 2024 | L’intelligent d’Abidjan
À mon avis : Ce que j’attends de la presse sportive ivoirienne …
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