Ils sont 55 personnes (47 filles et 8 garçons) issues de huit nationalités (Niger, Burkina Faso, Bénin, Togo, Ghana, Canada, France, Côte d’Ivoire) qui ont participé à une formation de Bachelor en management de l’hôtellerie et la restauration, à l’Ecole hôtelière de Grand-Bassam (Ehb). Après 3 ans de formation, les diplômés de cette 4e promotion ont reçu leurs parchemins de fin de cycle. C’était le 7 juillet 2022, à Grand-Bassam
« En six ans d’existence, l’Ecole hôtelière de Grand-Bassam a formé 1063 élèves et étudiants, délivrés près de 380 diplômes, avec un taux d’employabilité avoisinant les 70%. Ce qui fait d’elle, une institution au service du développement de la Côte d’Ivoire et de la sous-région dans le secteur de l’hôtellerie. Cela a été possible grave au travail des acteurs internes et externes à qui je voudrais exprimer ma reconnaissance. Notamment le ministère de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, et le ministère du Tourisme et Loisirs », a affirmé Herman Ollo, directeur général du groupe Fedel Invest, représentant le Président directeur général, Germain Ollo.
Avant de féliciter les étudiants de cette 4e promotion pour le travail abattu pour aboutir à ce résultat. « Une page se tourne, celle de l’apprentissage. C’est un nouveau chapitre de votre vie qui s’ouvre, celui du monde professionnel. Vous serez des professionnels qualifiés et compétents au vu de la formation reçue », a-t-il soutenu.
« Je suis fière de vous. Que cette formation, fruit de votre travail, soit l’aboutissement de vos efforts. Vous devez êtes fiers de représenter cette profession noble qu’est l’hôtellerie et la restauration. Bravo et bonne chance pour la suite », a déclaré Cheffe Prisca Gilbert, ambassadrice Unicef sur le programme Hackaton Nutrition et marraine de cette promotion.
Patricia Zoundi Yao, présidente du Mouvement des petites et moyennes entreprises (Mpme), prix d’excellence 2014 de l’Entrepreneuriat, qui a présidé cette cérémonie, s’est félicitée de cette école de droit ivoirien qui forment des manageurs dans le secteur de l’hôtellerie. Selon elle, le problème des entreprises en Afrique, ce n’est pas le problème de financement mais de capital humain.