Le Togo et le Tchad ont le même goût de l’histoire politique sur l’ampleur d’une gestion constitutionnelle qui ne ressemble pas à une gestion politique républicaine et démocratique. Il s’agit plutôt d’une gestion monarchique. Au Togo et au Tchad, il ne fait pas bon vivre dans cet atmosphère ‘’ rituel’’, avec les privilèges de l’État de ‘’ droit’’ qui se conjuguent en famille, particulièrement de père en fils, du père au fils. Des clichés qui sonnent vrais au Togo où Faure Gnassingbé le fils succède au père Gnassingbé Eyadema à la tête de l’État Togolais en 2005. Au Tchad, Mahamat Idriss Deby(Kaka) succède à son père Idriss Deby au palais présidentiel à N’Djamena. Cette question traditionnelle, ou constitutionnelle comble Faure Gnassingbé 50 ans environ et Mahamat Kaka Deby, 37 ans. Face à cette comédie politique au Togo et au Tchad, l’Union africaine, la Cedeao et la communauté des États de l’Afrique centrale restent impuissante. La France, les États-Unis, la Grande Bretagne, prennent acte de cette comédie politique. Et disons tout de suite que ‘’ ce mal politique ‘’ tourne au Togo depuis l’indépendance, de cet État de l’Afrique de l’Ouest.
Sport Publié le 27 mars 2024 | L’intelligent d’Abidjan
À mon avis/ Le mal togolais et tchadien : de père en fils
© L’intelligent d’AbidjanÀ mon avis/ Le mal togolais et tchadien : de père en fils