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Sport Publié le 4 août 2023 | Abidjan.net

Côte d'Ivoire : suppression de l'année préparatoire médecine-pharmacie-odontostomatologie, communément appelée tronc commun

© Abidjan.net
Côte d'Ivoire : suppression de l'année préparatoire médecine-pharmacie-odontostomatologie, communément appelée tronc commun

Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara a annoncé, le mercredi 2 août 2023 à l'université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan, la suppression de l'année préparatoire médecine-pharmacie-odontostomatologie, communément appelée tronc commun. L'information a été rendue publique dans une note consultée par Abidjan.net ce vendredi 04 Août 2023 sur la page méta du gouvernement de Côte d'Ivoire. 


Adama Diawara, qui s'exprimait à l'occasion de l'ouverture de l'édition 2023 des Journées de l'orientation du Bachelier (JOB) a indiqué que «cette décision a été prise afin de réduire le nombre d'échec trop souvent élevé lors du concours devant sanctionner l'année préparatoire». 


C'est désormais un peu plus de 600 étudiants qui seront admis dès la première année en médecine, pharmacie et odontostomatologie. Cette annonce du ministre a été accueillie avec beaucoup de joie par les étudiants présents. L'année préparatoire médecine-pharmacie-ondontostomatologie était redoutée pour sa fonction de "goulot d'étranglement".


Prévues du 2 au 4 août 2023 à l’Université Félix Houphouët-Boigny, les Journées de l’Orientation du Bachelier (JOB) ont pour objectif principal de mettre à la disposition des bacheliers les informations qualitatives et quantitatives à jour sur les offres de formation en vigueur dans les institutions d’enseignement supérieur ainsi que les conditions d’accès à ces formations, afin de bien s’orienter pour réaliser dans les meilleures conditions leur projet d’étude en lien avec leur projet professionnel.

 

Adama Diawara a reconnu au cours de celles-ci qu'«en l’absence d’information et d’accompagnement à l’orientation, de nombreux bacheliers s’inscrivent dans des filières qui ne correspondent ni à leurs compétences, ni à leurs aspirations professionnelles, ou aux besoins du monde du travail. Ce qui compromet plus tard la poursuite des études, voire l’insertion professionnelle.»

 

R-SEKONGO

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