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Sport Publié le 18 avril 2023 | AIP

Une fondation engagée dans la protection et la valorisation du patrimoine culturel ivoirien

© AIP
Une fondation engagée dans la protection et la valorisation du patrimoine culturel ivoirien

Abidjan- Le directeur du comité de gestion, Habib Bamba, a affirmé l’engagement de la fondation Orange dans la protection et la valorisation du patrimoine culturel ivoirien, lors d’une rencontre avec les artistes qui réalisent une fresque géante sur l’immeuble la Pyramide, « une figure de proue du panorama abidjanais ».


« Accompagner le 50ème anniversaire de la pyramide du Plateau, symbole d’architecture moderne en Afrique de l’Ouest, est pour nous une autre manière de réitérer notre engagement en faveur de la protection et la valorisation du patrimoine culturel ivoirien », a déclaré M. Bamba vendredi 14 avril 2023.


Selon lui, depuis 12 ans, son organisation est au service de la promotion des talents ivoiriens dans le domaine des arts. Après le lancement du musée virtuel des civilisations en mars, c’est la deuxième fois, cette année, que son organisation s’associe à un projet de conservation du patrimoine culturel ivoirien.


« L’objectif de la performance artistique en cours autour de la Pyramide, par ailleurs soutenue par les ministères de la Culture et de la Francophonie, de la Construction, du Logement et de l'Urbanisme et la mairie du Plateau, est de redonner vie à cette bâtisse historique oubliée des Abidjanais », a affirmé M. Bamba.


Il a encouragé les jeunes artistes plasticiens connus ou moins connus dans leur vision créative pour colorer et mettre en valeur ce bâtiment historique emblématique des années 1970 conçu par l’architecte italien Rinaldo Olivieri et considéré comme une icône du Plateau, commune des affaires.


Cette performance des artistes à ciel ouvert s’intitule « Demain est déjà né ». C’est une manière pour ses artistes de redonner une seconde vie à cette bâtisse à l’abandon.


Le directeur artistique Otto Lemon s’est entouré de six artistes confirmés, européens et ivoiriens, et de quatre étudiants de l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (INSAAC), pour la concevoir sur la façade lisse du bâtiment haute de 60 m.


Tg/zaar/kp

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