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Sport Publié le 3 avril 2023 | Abidjan.net

Côte d’Ivoire/Ramadan : les femmes musulmanes exhortées à la pratique du don de soi

© Abidjan.net
Côte d’Ivoire/Ramadan : les femmes musulmanes exhortées à la pratique du don de soi

L’imam adjoint de la mosquée du Centre Universitaire Hospitalier de Treichville, Koné Aboubakar a invité les membres du Réseau des Femmes Musulmanes de Côte d’Ivoire à saisir ce temps du Ramadan (période du jeûne musulman) pour accentuer leur pratique du don de soi. Il s’exprimait à l’occasion de la rupture collective organisée le samedi 1er avril 2023 par ce réseau à Abidjan-Plateau.


« L’importance de la bienfaisance en islam », c’est sur le thème que l’imam Koné a exhorté ces femmes musulmanes venues nombreuses s’abreuver à la source du savoir. Selon lui, la bienfaisance est une source de bénédiction. C’est pourquoi il encourage le musulman à faire de cette assertion son mode de vie. À en croire l’imam Koné, la bienfaisance est si importante que le prophète lui a consacré une sourate. Aux dires du guide religieux, les musulmans doivent saisir l’occasion du mois de jeûne pour partager ce qu’ils ont, même si cela est peu. « C’est en cela que ALLAH SOUBAHANA WATALLAH nous accorde sa grâce et sa bénédiction. Car celui qui partage le peu qu’il a , recevra en abondance », souligne-t-il.


Aux dires la présidente du REFEM Côte d’Ivoire, Wassa Touré , il s’agissait également, à travers ce moment de joie partagée, autour d'un repas, d’œuvrer dans le sens du raffermissement de la cohésion entre les femmes musulmanes.

Le partage du repas de jeûne a été précédé par la prière de "Maghreb", conduite par l’imam Koné.


Le REFEM est une Organisation Non Couvernementale, de solidarité mationale.Il intervient principalement en faveur des femmes et des enfants là où les besoins sociaux et humanitaires exigent, en vue de l’autonomisation et de l’inclusion sociale et économique des femmes et des enfants en situation de précarité.


Ce réseau est actif en faveur de la femme, de l'enfant et de la jeune fille, dans les secteurs de l’éducation et promotion du bien-être; de l’insertion socio-économique et autonomisation et enfin l’Économie solidaire.




Cyprien K.

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