À Bamako, on reconnaît volontiers que les relations entre les deux pays ont entre-temps beaucoup évolué sur l’affaire des militaires ivoiriens : « Nous parlons avec nos frères ivoiriens », explique par un exemple un officiel impliqué dans la gestion du dossier.
Mais pourquoi les 46 militaires ivoiriens ne sont pas toujours libérés ? Notre interlocuteur affirme dans un premier temps : « ça ira », avant de reconnaître que le processus évolue un peu en dents de scies ces derniers temps.