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Sport Publié le 16 juin 2025 | Abidjan.net

2ᵉ édition du Tournoi de l’Espoir à Abobo : la Fondation Simon Adingra et Tecno conjuguent sport, solidarité et avenir

© Abidjan.net
2ᵉ édition du Tournoi de l’Espoir à Abobo : la Fondation Simon Adingra et Tecno conjuguent sport, solidarité et avenir

À l’Agora d’Abobo Akéikoi, le football a rassemblé les populations d’Abobo le 14 juin 2025, venues célébrer la deuxième édition du Tournoi de l’Espoir, une initiative de la Fondation Simon Adingra, en partenariat avec TECNO, la marque de téléphonie mobile aujourd’hui reconnue comme un acteur majeur de l’innovation en Afrique.


Ce rendez-vous annuel mêle désormais sport, engagement citoyen et actions humanitaires concrètes. Un mariage réussi entre passion du football et responsabilité sociale.


Marque préférée de millions d’Africains, TECNO Mobile s’illustre non seulement par la qualité de ses produits, mais aussi par son engagement à soutenir la jeunesse du continent. Après avoir été partenaire officiel de la CAN 2023, la marque a affiché clairement sa volonté de s’investir durablement dans le développement du football africain.


C’est dans cette dynamique que TECNO accompagne aujourd’hui le Tournoi de l’Espoir, marquant ainsi un pas supplémentaire en Côte d’Ivoire. La marque soutient activement les centres de formation locaux en leur fournissant les moyens nécessaires pour un encadrement de qualité.


À cet effet, plus de 3 millions de FCFA de matériel sportif ont été offerts, ainsi que des smartphones TECNO aux vainqueurs du tournoi, afin de faciliter la communication et de créer une véritable synergie entre les jeunes talents et leurs encadreurs.


TECNO est également allé plus loin en offrant aux trois clubs finalistes des heures d’entraînement tous frais payés au sein de l’Agora d’Abobo. Une manière concrète de lever les obstacles financiers qui freinent souvent la progression des jeunes joueurs, tout en récompensant leur mérite.


Les grands vainqueurs de cette deuxième édition sont premier CF AGORA , deuxième.ROFA troisième ESPÉRANCE FC.


Simon Adingra, international ivoirien et enfant d’Abobo, a donné le coup d’envoi du tournoi dans une atmosphère fraternelle. Il a livré un message fort à la jeunesse :

« Ce tournoi, c’est ma façon de redonner à Abobo ce que la vie m’a offert. Je suis né ici, j’ai grandi ici, et je veux que les jeunes sachent qu’ils peuvent rêver grand, tout en restant solidaires. »


Au-delà de la compétition sportive, la Fondation Simon Adingra a marqué les esprits par une série d’actions solidaires , dons de vivres pour les familles défavorisées, équipements médicaux pour les maternités d’Akeikoi et d’Avocatier, vivres remis à une association de veuves d’Abobo, matériel sportif et équipements électroniques pour les clubs locaux.


L’événement a reçu le soutien de figures majeures du football ivoirien : Gervinho, Diakité Oumar, Guy Démel entraîneur adjoint des Éléphants. Tous sont venus saluer l’engagement exemplaire de Simon.

« Il a compris que la gloire ne vaut rien si elle n’est pas partagée. Simon montre que la jeunesse ivoirienne est capable d’impacter positivement sa communauté », a témoigné Gervinho.


Guy Démel et Diakité Oumar ont eux aussi salué une initiative rare : celle d’un joueur qui ne se contente pas de briller à l’international, mais revient construire chez lui.


Un ancien encadreur de Simon Adingra, rencontré durant ses années de formation au Bénin, n’a pas caché son émotion :

« Ce jeune a toujours été déterminé. Ce qu’il fait aujourd’hui n’est pas une surprise, c’est la suite logique de son engagement et de son cœur. »


Alix Kouassi, directeur de l’Agora d’Abobo, a souligné la portée du projet :

« L’Agora a été pensée comme un espace de vie et de cohésion. Aujourd’hui, grâce à Simon Adingra et à l’engagement de partenaires solides comme TECNO, elle remplit pleinement cette mission. »


Au terme de cette journée, un message clair a été lancé aux autorités, aux populations et aux partenaires potentiels :

« Nous faisons notre part avec nos moyens. Mais pour aller plus loin, pour toucher plus de vies, nous avons besoin d’un soutien structuré : des institutions, du privé, et de toutes les bonnes volontés », a plaidé Simon Adingra.



JB

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