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Sport Publié le 14 octobre 2024 | L’intelligent d’Abidjan

RHDP Dabou : à moins de 12 mois de la présidentielle, des cadres ne jouent pas franc-jeu

© L’intelligent d’Abidjan
RHDP Dabou : à moins de 12 mois de la présidentielle, des cadres ne jouent pas franc-jeu

À Dabou, dans la région des Grands-Ponts, et le District Autonome des Lagunes, des cadres membres du RHDP ne jouent pas franc-jeu.



Alors que le président du RHDP, Alassane Ouattara, multiplie les efforts pour développer Dabou et, par extension, la région des Grands-Ponts, des divergences internes au sein du RHDP menacent sérieusement cette ambition. Ces tensions entre des cadres du parti au pouvoir suscitent des interrogations à l’approche de l’élection présidentielle de 2025.



Situation préoccupante à Dabou



Dabou, chef-lieu de la région des Grands-Ponts, située à moins de 40 minutes d’Abidjan, reste figée dans une léthargie. En effet, la ville, autrefois prospère et connue pour son rôle dans l’éducation avec son école normale rivalisant avec l’école William Ponty au Sénégal, est aujourd’hui en décrépitude. L’entrée de Dabou est négligée, les infrastructures routières sont vétustes, et les établissements scolaires sont à l’abandon, laissant les élèves sans moyens adéquats de logement et de subsistance.




Malgré le potentiel énorme de cette ville lagunaire, sa transformation ne se concrétise pas par la faute de ses cadres, peu soucieux d’utiliser leur position au sein du pouvoir, pour impulser le développement et le décollage. Avec l’avènement des figures politiques influentes comme le Premier ministre Beugré Mambé et le ministre délégué Adjé Silas Metch, les populations espéraient des résultats plus visibles et un impact plus significatif .



Désaccords au sein du RHDP



Les actions de développement voulues par le président Ouattara sont entravées par des conflits internes au sein des cadres du RHDP. Alors que le ministre-gouverneur Lohouess Esso Vincent, le sénateur Hilaire Méledjé et le ministre Adjé Silas Metch reçoivent le soutien des chefs traditionnels, des jeunes, des femmes et des cadres, d’autres acteurs œuvrent dans une direction contraire.

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