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Sport Publié le 12 août 2024 | L’intelligent d’Abidjan

Déclaration de l’opposition et de la société civile sur la liste électorale : Pourquoi le FPI et Pulchérie Gbalet n'ont pas signé

© L’intelligent d’Abidjan
Déclaration de l’opposition et de la société civile sur la liste électorale : Pourquoi le FPI et Pulchérie Gbalet n'ont pas signé

Le FPI et l'ACI de Pulchérie Gbalet expliquent pourquoi ils n'ont pas signé le Protocole de partis et groupements de la société de l’opposition pour des élections apaisées. 


Le vendredi 9 août 2024, un groupement de 11 partis et mouvements politiques ainsi que deux organisations de la société civile ont procédé à la signature d'un protocole d'accord visant à mener des actions communes pour une élection présidentielle transparente et crédible en Côte d’Ivoire en 2025. Ce protocole n'a pas été signé par certains partis de l’opposition, tels que le Front Populaire Ivoirien (FPI), le Mouvement des Forces d'Avenir (MFA) version Anaky Kobenan, ainsi que l’organisation Alternative Citoyenne Ivoirienne (ACI) dirigée par Pulchérie Gbalet.


Joints par L’Intelligent d’Abidjan, le FPI et l'ACI ont expliqué les raisons de leur non-signature. Le FPI était présent à la cérémonie de signature, au siège du PDCI-RDA à Cocody. Cependant, selon Kouakou Kra, vice-président du parti en charge des questions électorales, un problème de forme s'est posé.


. « (...) Nous n'avons pas signé pour une question de forme. Il s'agit certes de l'opposition, mais telle que la chose est présentée, elle donne l'impression d'être une. chose déjà structurée. Nous avons besoin de plus d'informations sur le contenu, avant de s'engager. Nous avons participé à la préparation et à la réflexion. Mais nous n'avons pas signé pour une raison de forme. Il est dit que c'est un groupement ou un collectif. Or, il faut s'assurer de tous les paramètres d'une organisation politique avant de s'y engager, pour éviter d'autres problèmes », a dit Kouakou Kra. 


[ Pulchérie Gbalet : « Au départ, on ne nous a pas dit que nous serions dans un collectif avec des partis politiques « ]


Pour sa part, Pulchérie Gbalet n’apprécie pas la cohabitation avec des partis politiques au sein d’un groupement.


« Nous avons participé à toutes les séances de travail qui devaient aboutir à la déclaration lue. Le problème s'est posé à la fin, sur la dénomination du groupement. En notre qualité d'organisation de la société civile, nous ne pouvons pas appartenir à un groupement où il y a des partis politiques. Ils ont clairement dit que c'est un Collectif des partis politiques et organisations de la société civile. 

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