Une gifle à l’homme fort du Kremlin.
La Cour pénale internationale (CPI) a décidé vendredi de lancer un mandat d’arrêt contre le président russe Vladimir, Poutine, pour son implication présumée dans l’enlèvement de milliers d’enfants en Ukraine et leur déportation illégale vers la Russie. Ces rapts de masse, orchestrés en temps de conflit, sont considérés comme un « crime de guerre » par le tribunal international.
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Depuis La Haye, aux Pays-Bas, la CPI a également lancé un mandat d’arrêt contre Maria Alekseyevna Lvova-Belova, devenue depuis le début de l’agression russe contre l’Ukraine, il y a plus d’un an, l’image publique du programme de déportation d’enfants ukrainiens vers la Russie et la grande promotrice de leurs adoptions par des couples russes.Dans un communiqué, l’équipe de juriste chargée du dossier ukrainien dit avoir « des motifs raisonnables de croire que chaque suspect porte la responsabilité du crime de guerre de déportation illégale de population et de celui de transfert illégal de population des zones occupées d’Ukraine vers la Fédération de Russie, et ce, au préjudice des enfants ukrainiens ».