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Sport Publié le 13 octobre 2022 | Abidjan.net

Pêche illicite et non déclarée : l’actualisation du plan d’actions au cœur d’un atelier de 4 jours à Abidjan

© Abidjan.net
Pêche illicite et non déclarée : l’actualisation du plan d’actions au cœur d’un atelier de 4 jours à Abidjan

Un atelier visant à actualiser le plan d’action national de lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (PAN-INN) s’est ouvert, lundi 10 octobre 2022, à Abidjan-Plateau, en présence de Samy Gaiji, représentant pays de la FAO. S’inscrit dans la droite vision du ministre des Ressources Animales et Halieutiques, Sidi Touré, et décliné dans la PONADEPA en matière de lutte contre la pêche INN, ce séminaire a pour objectif de « réviser les écarts identifiés dans le plan actuel ». Ainsi, les acteurs issus de la Direction des pêches et de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) devront, ensemble travailler à donner des approches plus innovantes en vue de venir à bout de la pêche illicite, non déclarée et non réglementée.


A l’ouverture des travaux, Assoumany Gouromenan, directeur de Cabinet au Ministère, représentant le ministre Sidi Touré, a fait savoir que « cet atelier fait suite aux recommandations d’une rencontre virtuelle réunissant les institutions publiques nationales concernées, plusieurs parties prenantes clés du secteur de la pêche en Côte d’Ivoire et la FAO au cours de laquelle, la révision et l’adoption du PAN-INN a été décidée, comme une priorité élevée ».


A l’en croire, la Côte d’ivoire est de plus en plus une « cible privilégiée des braconniers de la pêche en raison de sa situation géographique par rapport aux zones de pêche dans le Golfe de Guinée ». Et cela, en dépit de « la mise en œuvre du Plan National de lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée 2015-2019 (PAN-INN) et des efforts consentis ». C’est pourquoi, durant ces 04 jours, les parties prenantes, à travers leurs échanges, feront des « recommandations pertinentes à l’endroit des acteurs et élaboreront un projet d’arrêté pour la mise en œuvre de mesures nationales de l’état du port, basées sur l’analyse de risque ».


A.N

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